Dans un rapport accablant, Reporters sans frontières (RSF) accuse l’armée russe de viser délibérément des hôtels en Ukraine connus pour abriter des journalistes. Ces actions, si elles sont vérifiées, représentent non seulement une violation flagrante du droit international humanitaire, mais aussi un crime de guerre manifeste qui ne doit pas rester impuni.
Les journalistes pris pour cible : Un crime de guerre à la vue de tous
Depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022, les journalistes ont été pris pour cible à plusieurs reprises, et nombre d’entre eux ont été tués, blessés ou portés disparus. RSF rapporte que plusieurs frappes de missiles et d’artillerie ont directement touché des hôtels utilisés par des équipes de médias internationaux et ukrainiens, malgré leur statut de civils protégés par les Conventions de Genève.
Ces attaques délibérées contre des membres de la presse ne sont pas des incidents isolés : elles s’inscrivent dans une stratégie systématique visant à réduire au silence les reportages indépendants et à contrôler le récit de la guerre. S’en prendre aux journalistes n’est pas seulement de la censure. C’est un crime de guerre.
Justice pour les victimes des crimes de guerre de la Russie en Ukraine
Nous devons lancer un appel :
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Des enquêtes indépendantes et transparentes sur chaque attaque contre des journalistes et des civils.
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La responsabilité des dirigeants militaires et politiques russes qui ont autorisé ou permis ces attaques.
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Pression internationale pour protéger les journalistes dans les zones de conflit et faire respecter l’État de droit.
Chaque journaliste tué en Ukraine était une voix pour la vérité réduite au silence par la violence. Chaque mort civile est une tragédie qui exige justice. Nous devons nous battre non seulement pour la liberté de la presse, mais aussi pour les droits et la dignité de chaque victime de la guerre brutale menée par la Russie.
Pourquoi il faut s’en souvenir et le partager
Des mots-clés tels que « crimes de guerre russes en Ukraine », « attaques contre les journalistes » et « justice pour les victimes de guerre » ne sont pas seulement des termes de référencement - ils rappellent de manière urgente pourquoi le monde ne doit pas détourner le regard.
Les victimes de cette invasion -journalistes, civils, enfants et familles -nedoiventjamais être oubliées. La justice commence par une prise de conscience. Et la prise de conscience commence par vous.
Exprimez-vous. Partagez cet article. Demandez des comptes. Exigez la justice.
