Aujourd’hui, avec trois organisations FUVI, Freedom For Eurasia et le Parti pour la renaissance islamique du Tadjikistan, nous avons saisi la CPI pour dénoncer une politique de répression d’État orchestrée au plus haut niveau.
- Plus de 60 cas documentés : torture, viols, exécutions extrajudiciaires, disparitions, détentions arbitraires, exils forcés…
- Des preuves accablantes : témoignages, vidéos, documents officiels, dossiers judiciaires.
- Des responsables identifiés : jusqu’au sommet de l’État.
Nous demandons l’ouverture d’une enquête, la protection des témoins et l’émission de mandats d’arrêts contre les auteurs.
Le silence n’est plus une option.
Quand la justice nationale est inexistante, la justice internationale doit parler fort.
Merci à nos partenaires et à toutes celles et ceux qui refusent de détourner le regard.